Le terme fact checking, de l’anglais fact (fait) et checking (vérification), apparaît de plus en plus souvent dans les médias. Ce terme anglais désigne une nouvelle forme d’investigation menée par les journalistes et éventuellement par les internautes, afin de vérifier des faits ou des chiffres.
L’accès élargi à l’information, ainsi qu’une communication accrue des internautes à travers de nombreux réseaux spécialisés ont rendu possibles ces vérifications qui visent à objectiver par des preuves les faits cités par des personnalités publiques.
Le fact checking, dont on a beaucoup parlé durant la campagne présidentielle, constitue une nouvelle donne pour la profession journalistique, comme le montre cet article :
Présidentielle : les médias dégainent le fact-checking
Les grandes rédactions françaises ont d’ores et déjà créé des rubriques spécifiques dédiées aux fact checkers.
les décodeurs du monde
Quels équivalents français proposeriez-vous pour ces deux termes ?
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littéralement "meilleur de", produit (physique ou non) regroupant les meilleurs éléments ou parties d'un travail ...
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L'acronyme "global positioning system", soit " système de locaiisation planétaire", est déjà bien connu, depuis ...
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Etat syndromique subdépressif relatif à une saturation professionnelle. Il peut. conduire, par exacerbation, à la mort. ...
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On pourrait parler de « veille factuelle » ou de « veilleurs de faits » pour cibler les implications de cette activité :
l’environnement virtuel et étendu d’internet et la perte aisée de la « première source » aux profit de sources secondaires impose que l’activité de vérification soit une activité de veille, c’est-à -dire une surveillance en réaction et en continue (dans le double sens de « rester » et de « réagir »).
Un terme plus technique serait falcificationner (voir falcificationnisme), au sens d’apporter la contradiction, si l’on considère que la notion de vérité d’un point de vue ultime n’a pas de sens.
On pourrait parler de « veille factuelle » ou de « veilleurs de faits » pour cibler les implications de cette activité :
l’environnement virtuel et étendu d’internet et la perte aisée de la « première source » aux profit de sources secondaires impose que l’activité de vérification soit une activité de veille, c’est-à -dire une surveillance en réaction et en continue (dans le double sens de « rester » et de « réagir »).
Un terme plus technique serait falcificationner (voir falcificationnisme), au sens d’apporter la contradiction, si l’on considère que la notion de vérité d’un point de vue ultime n’a pas de sens.
On pourrait parler de « veille factuelle » ou de « veilleurs de faits » pour cibler les implications de cette activité :
l’environnement virtuel et étendu d’internet et la perte aisée de la « première source » aux profit de sources secondaires impose que l’activité de vérification soit une activité de veille, c’est-à -dire une surveillance en réaction et en continue (dans le double sens de « rester » et de « réagir »).
Je propose : vérifaiter, vérifaitateur, vérifaitatrice