se rapporte à la popularité d’une Å“uvre cinématographique, se calcule en fonction des billets vendus
cinécho: en référence à l’écho que peut avoir un film à son retentissement
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On dirait par exemple « top-entrées » (ou « tope » s’il faut franciser pour les puristes), palmarès est de consonance déjà trop technique, tout comme affaires, ventes, recettes. Le terme d’entrée est plutôt euphémisant, élusif et inclusif pour le spectateur pour coller à l’utilisation.
« Cinémaffluence » ou « cinéffluence » proposés par pouceur pourraient se contracter en CINEFLUX, puisqu’il s’agit de mesurer un flux de spectateurs dans les salles. Même nombre de syllabes, et le mot « flux » qui donne un air dynamique, alors que « palmaffaires » ferait plutôt penser à une brocante sous les palmiers (d’accord, c’est la saison des navets de l’été, mais ce n’est pas là -dessus que les distributeurs font leur chiffre). En fait, le mot existe déjà comme nom de plusieurs centres, sites ou sociétés liés au cinéma ou à l’internet.
Suggestion: le «palmaffaires»
Mot-valse constitué de l’apocope de «palmarès» et de la dernière syllabe de la locution du domaine de spécialité de la gestion «chiffre d’affaires».
Avantages, selon mon approche subjective que je soumets à votre esprit critique: «le palmaffaires»
– intègre le concept de «palmarès» et celui de «chiffre d’affaires», et donc représente fidèlement la vocation effective d’une société de production cinématographique (management par objectifs: remporter un palmarès et réaliser du chiffre pour un film donné)
– éveille, sous l’angle psycholinguistique, la conotation avec la «Palme d’or» du festival de Cannes de par la ressemblance acoustique entre les premières syllabes respectives de ces deux dénominations
– du point de vue de la longueur exprimée en nombre de syllabes, est en position favorable de compétition avec l’anglicisme «box office»
– pronociation aisée, l’occlusion bilabiale «p» du début du mot et la consonne labiodentale représenté à l’écrit par deux «ff» (consonne non occlusive) n’étant pas ressentie par les locuteurs francophones comme très contraignante du point de vue phonologique.
Cordialement,
je préciserais : « palmares des ventes » ou « palmares des entrées »
je croyais que PALMARÈS sonnait mieux?
Effectivement. Je n’y avais pas pensé. Merci
Pourriez-vous fournir un exemple de l’emploi de ‹‹box office››. Moi je suis d’origine anglais et je vous assure que ces deux mots veulent dire, en apposition, ‹‹cinématique››. Comme nom, les deux mots veulent dire ‹‹guichet›› où l’on achète les billets de cinéma. Pourtant on dit ‹‹box office hit›› qui équivaut à ‹‹succès cinématique››.
Exemple: Le film Intouchable est en tête du box office hexagonal avec 14 millions d’entrées.
je pense maintenant au terme affluence et peut-être au néologisme cinémaffluence ou cinéffluence