Sport officiel, dés 1892 à St Moritz, discipline olympique.
Support plus apparenté à une planche à neige individuelle, qu’une luge ou traîneau, contrairement au sludisme, soit le »bobsleigh », né deux ans plus tard.
Les Gaulois ont peut-être inventé la luge, dont on peut dénombrer pas moins de cinq transcriptions : sludia, slaudia, leuda, leudia et leudico, ce qui offre « slude », l’habitacle à 2 ou 4 places ou « sludisme », ce sport. Donc « monolugisme », est permis.
Mais pour une meilleure différenciation, le » plancaneige » (et « plancanégiste », son pilote), peut être légitimé.
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littéralement "meilleur de", produit (physique ou non) regroupant les meilleurs éléments ou parties d'un travail ...
Un frape est un terme porte-manteau, contraction de facebook et rape (viol). Ce terme indique ...
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« Squelette », donnant squeletteur (comme à peu de chose près « skateur »)
Je propose « luge ventrale » ou « luge de front », pour distinguer cette discipline de la « luge » traditionnelle
Comme je l’ai fait remarquer auparavant, « Luge ventrale » n’a guère de sens puisque la luge enfantine classique se pratique déjà en position ventrale (voir « Citizen Kane » d’Orson Welles pour les détails).
Pour clôre ce châpitre, pas forcément squelettique, j’opine pour:
« monosludisme » n. m. par différenciation de:
« polysludisme » » » pour le « bobsleigh ».
Naturellement, leurs pratiquants seront de façon respective, les sludistes pour la compétition et les sludeurs,(euses),pour le sport de détente. Selon la discipline, ces termes se distinguent par le préfixe mono/poly, sans oublier le verbe spécifique « sluder », distinct du générique « luger ».
N.B.:
Telle l’invention du tonneau (avec ses douves incurvées), celle de la luge (avec ses patins relevés à l’avant), réintroduite au IX° siècle, avec le mot « slaudia », est bien aussi gauloise.
Vu les risque de compliquer la situation, ne serait-il plus sage d’élire tout simplement le mot ‘squelette’? L’anglais n’a pas choisi son mot pour rien…
Comme j’aime bien polémiquer, je ferais remarquer que le rugby doit son nom à une localité du Warwickshire qui n’est guère plus peuplée que Sarcelles. Ensuite, il y a en français des néologismes plus ou moins spontanés qu’on peut considérer comme produits du terroir, tels que coupe-vent, remonte-pente, chasse-neige, ou encore tire-fesse, synonyme familier de télésiège: ils sont entrés dans l’usage sans problème et sans mettre à contribution des langues mortes telles que le grec ancien, le latin, le gaulois, le sanskrit ou le sumérien. Les constructions savantes à partir des langues mortes créent beaucoup plus de difficultés de compréhension, et quand ils sont longs et inesthétiques, cela fait beaucoup de raisons de ne pas les utiliser.
Je ne souhaite guère polémiquer. Tant de mots intrus, en souffrance, s’amoncèlent…Précisons toutefois que le domaine
sportif, rime peu avec la mélodie. Quant au mot « Engiadinia » ou
« Engadine », il qualifie simplement une vallée des Grisons, à ma connaissance, où le nombre de locuteurs, n’excède pas la population de Sarcelles. Par ailleurs, à noter la similitude
entre « sleddism » en anglais et « sludia ».
« Engadine » est bien un terme du terroir, exactement du terroir romanche, et je le trouve nettement plus mélodieux que « sludisme » ou « monolugisme ».
Merci Anoup. Mais il faut savoir si ‘bobsleigh’ vient également de l’Engadine. On risque d’appliquer un terme à un sport qui pourrait s’appliquer également à l’autre.
La critique est aisée, mais l’art bien exigeant et ici, aucune proposition constructive, n’est produite.
L’enrichissement et l’évolution de la langue française, est
essentiellement lié aux néologismes, concis ou non, nourris
de ses structures propres.
Ainsi les francophones s’identifient d’instinct à des termes
issus du terroir, comme la tortue marine à peine émergée du sable,
va se ruer vers l’onde…
Heureusement, que plus d’un pour cent de ces termes, échappant à une autre hécatombe, survivront dans la langue !
Je pense aussi que la néologie est un moyen efficace d’enrichissement du français si le néologisme est bien reçu dans la collectivité linguistique. Si aucun terme n’est proposé, les usagers utiliseront l’anglais (toujours largement diffusé).
Je pensais que l’adjectif « ventral », pourrait être utile, étant donné qu’il est employé pour d’autres sports : sport de glisse (sur l’eau) : » luge ventrale », et saut en hauteur : « rouleau ventral ». Mais bon, c’est seulement une proposition.
« Luge ventrale » n’a guère de sens puisque la luge enfantine classique se pratique déjà en position ventrale (voir « Citizen Kane » d’Orson Welles pour les détails). « Luge suisse » n’est pas vraiment sexy. « Niviplanchisme » et « monolugisme » sont lourds et pédants. Bref, on comprend mieux pourquoi, en dernier ressort, les Français finissent par préférer le terme anglais.
Vous avez raison, avec -2, ce sport, fonctionne mieux !
Le vocabulaire de la planche est déjà bien riche. Pourquoi ne pas enrichir celui de la luge en optant pour « luge ventrale ».
Il faut un terme qui puisse être employé dans un contexte international, et compris dans tous les pays où le français est en usage.
et si on disait ‘luge suisse’?
« niviplanchisme » n. m., « niviplanche » n. f., représentant le support de ce sport et « niviplanchiste », son utilisateur.
De: « nix, vis », la neige en latin.
Bien trouvé, la grisonne. Mais si on veut évoquer sa localité d’origine, ce sport pourrait aussi s’appeler la murezzane ou l’engadine. On pourrait alors prendre un gadin en faisant de l’engadine.
http://www.cnrtl.fr/definition/gadin
J’aime même mieux ‘engadine’. Mais est-il vraiment le bon adjectif qui appartient à cette région? Y a-t-il des Suisses ici qui pourraient nous éclairer?
Après quelques recherches j’ai pu trouver et ‘engadin’ et ‘engadinois’, donc notre choix serait entre ‘engadine’ et ‘engadinoise’. Pour quelque raison je trouve que le premier est plus épuré et donc plus apte à ce sport.
Autrement on pourrait se servir du modèle ‘tyrolienne’. Les parallèles sont frappantes – deux sports alpins, deux régions avoisinantes.
‘grisonne’
traînette, traînelle